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Les coupeurs de feu en radiothérapie : une aide complémentaire précieuse aussi pour les patients avec zona et eczéma aigue.

  • Photo du rédacteur: Martin Ladouceur
    Martin Ladouceur
  • 15 mars
  • 4 min de lecture

Dernière mise à jour : 29 juil.


Médecin en milieu hospitalier – illustration de la collaboration entre médecine conventionnelle et coupeurs de feu pour soulager les effets de la radiothérapie
Le Dr Daniel Serin, cancérologue et vice-président de l'Institut Sainte-Catherine à Avignon

70 % du personnel soignant interrogé jugeait l’efficacité des coupeurs de feu comme forte ou totale sur les douleurs liées à la radiothérapie.

La radiothérapie, pilier dans le traitement de nombreux cancers, agit en détruisant les cellules tumorales par l’exposition ciblée à des rayonnements. Si cette méthode est efficace, elle entraîne souvent des effets secondaires cutanés significatifs : brûlures, sensations de chaleur persistante, rougeurs, démangeaisons ou inflammations. Ces réactions, parfois très douloureuses, altèrent la qualité de vie des patients en cours de traitement. Face à cette réalité, certaines pratiques complémentaires trouvent leur place, parmi lesquelles le recours aux coupeurs de feu, également appelés barreurs de feu.


Au-delà de la radiothérapie, ces praticiens sont également sollicités pour soulager les douleurs intenses et les inflammations liées au zona ou atténuer les crises sévères d’eczéma aigu, lorsque la gêne est importante et la peau très irritée.


Une pratique observée et reconnue sur le terrain médical: Coupeur de feu radiothérapie

En France, le Dr Daniel Serin, cancérologue et vice-président de l’Institut Sainte-Catherine à Avignon, rapporte que de nombreuses patientes font appel à un coupeur de feu en parallèle de leur radiothérapie. Selon son expérience, cette intervention apporte un soulagement dans environ 80 % des cas, bien que le mécanisme précis reste inexpliqué scientifiquement. Le Dr Serin insiste toutefois sur l’importance d’encadrer cette pratique pour éviter les dérives, tout en reconnaissant que, lorsque les patients en retirent un bénéfice tangible, elle mérite d’être respectée.


Qui sont les coupeurs de feu et comment agissent-ils

Les coupeurs de feu sont des personnes dotées d’un don naturel, parfois découvert par hasard, parfois transmis au sein d’une même famille. Il n’existe aucune formation officielle ou cursus médical permettant de devenir coupeur de feu. La capacité ne s’acquiert pas par un apprentissage classique : elle repose sur une prédisposition personnelle, affinée au fil du temps par l’expérience.

Leur action vise principalement à :

  • diminuer la sensation de brûlure et la douleur associée aux rayons,

  • réduire les inflammations cutanées,

  • apaiser les poussées douloureuses de zona,

  • calmer les crises intenses d’eczéma aigu,

  • soutenir le processus de cicatrisation grâce à des techniques spécifiques de magnétisme thérapeutique ou de médecine vibratoire.


Si la tradition associait autrefois ces interventions à une présence physique auprès du patient, une grande partie se pratique aujourd’hui à distance, avec des résultats rapportés comme comparables. Cela permet d’intervenir rapidement, même lorsque le patient est hospitalisé ou réside loin du praticien.


Quand les hôpitaux collaborent avec les coupeurs de feu

Si la pratique reste souvent informelle, plusieurs établissements hospitaliers ont franchi un pas vers une collaboration plus assumée. En Haute-Savoie, certains hôpitaux intègrent ponctuellement des coupeurs de feu dans le parcours de soin, y compris pour des interventions à distance. En Suisse, des services d’oncologie et de dermatologie tiennent à disposition des listes de coupeurs de feu, sollicités aussi bien pour les brûlures de radiothérapie que pour des cas de zona ou d’eczéma sévère.


La reconnaissance ne se limite pas à l’Europe :

  • Aux États-Unis, certains services de soins palliatifs et cliniques de cancérologie collaborent avec des praticiens de fire cutting ou de therapeutic touch, parfois à distance, pour atténuer la douleur.

  • En Belgique et au Luxembourg, il existe des échanges officieux entre personnel soignant et coupeurs de feu, notamment pour les cas de brûlures médicales ou dermatologiques aiguës.


Une étude française de 2007 révélait déjà que 70 % du personnel soignant interrogé jugeait l’efficacité des coupeurs de feu forte ou totale sur les douleurs liées à la radiothérapie, confirmant l’intérêt de cette approche.


Un tabou persistant au Québec : ignorance, fermeture et désinformation

Au Québec, la pratique des coupeurs de feu demeure largement méconnue, voire incomprise, par une grande partie du corps médical. Dans les hôpitaux, il n’est pas rare que le simple fait d’évoquer le sujet auprès du personnel soignant suscite de l’incrédulité, voire un refus catégorique d’en discuter. Dans la grande majorité des cas, médecins, infirmières ou gestionnaires hospitaliers n’ont aucune idée de ce dont il est réellement question, ni des résultats que peuvent obtenir certaines interventions.


Cette fermeture d’esprit s’accompagne parfois d’une opposition active. Dans mon propre parcours, cette réalité a pris la forme d’une poursuite du Collège des médecins du Québec, conséquence directe de ma pratique et de mon engagement auprès des patients. Cet épisode illustre à quel point la médecine vibratoire, pourtant reconnue et même intégrée dans certains hôpitaux européens et nord-américains, reste ici confinée à un statut marginal, privé de reconnaissance officielle.


Le problème ne se limite pas au milieu médical. Les médias traditionnels, lorsqu’ils abordent le sujet, en véhiculent souvent une image incomplète ou erronée. Cette désinformation contribue à entretenir les préjugés et empêche un véritable débat public basé sur des faits, des témoignages et des observations cliniques réelles. Pourtant, au-delà des croyances ou des résistances, de nombreux patients au Québec continuent de rapporter un soulagement concret, que ce soit après une radiothérapie, lors d’un zona ou en pleine crise d’eczéma aigu.


Un complément, jamais un substitut aux traitements

Il est essentiel de rappeler que la médecine vibratoire et le magnétisme thérapeutique, qu’ils soient pratiqués en personne ou à distance, ne remplacent pas les traitements médicaux. Ces interventions s’inscrivent en complément, avec des effets potentiels tels que :

  • un soulagement rapide des brûlures, douleurs et démangeaisons,

  • une diminution possible du recours aux antidouleurs,

  • une meilleure tolérance des traitements et une amélioration globale du confort de vie.


    Toute intégration de ce type d’accompagnement devrait idéalement être discutée avec l’équipe médicale, afin d’assurer une cohérence dans la prise en charge.


Mon accompagnement à distance

En tant que guérisseur-magnétiseur coupeur de feu, j’interviens exclusivement à distance au Québec, ailleurs au Canada et à l’international. Mon approche est adaptée pour :

  • apaiser rapidement les brûlures et douleurs liées aux rayons,

  • soulager les poussées douloureuses de zona,

  • calmer les crises sévères d’eczéma aigu,

  • favoriser la cicatrisation cutanée,

  • intervenir dans les situations urgentes ou lorsque la douleur persiste.

Chaque intervention est individualisée et effectuée dans le respect total des traitements médicaux en cours.

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