Positionnement juridique du guérisseur au Québec : réponse aux accusations du Collège des médecins.
- Martin Ladouceur
- 19 juin
- 5 min de lecture

Depuis plusieurs années, j’exerce au Québec en tant que guérisseur-magnétiseur coupeur de feu, pratiquant des soins vibratoires complémentaires à distance. Mon engagement est clair : accompagner des personnes dans leur parcours de santé global, en soutien des traitements médicaux déjà en place, sans jamais s’y substituer.
Pourtant, malgré cette transparence et cette rigueur éthique constante, une décision administrative a été rendue à mon encontre en 2023 par le Collège des médecins du Québec. Cette décision soulève des questions fondamentales sur le positionnement juridique du guérisseur au Québec, la liberté thérapeutique des citoyens et les limites réelles du cadre légal encadrant les pratiques vibratoires.
Le positionnement juridique d’un accompagnement vibratoire complémentaire au Québec
Contrairement à certaines représentations simplistes souvent véhiculées dans l’espace public, ma pratique de guérisseur-magnétiseur coupeur de feu ne relève en rien de l’exercice de la médecine. Je ne suis pas médecin, je ne pose aucun diagnostic médical, je ne propose aucune prescription de traitement et je ne recommande jamais l’arrêt ou la modification d’un suivi médical établi par les professionnels de santé. Ce cadre est précisé systématiquement à chaque personne qui me consulte. Le positionnement juridique du guérisseur complémentaire au Québec est parfaitement défini : tant qu’il n’empiète pas sur les activités réservées aux professionnels de santé (diagnostic, traitement, prescription ou interruption de suivi médical), un accompagnement vibratoire, purement complémentaire, est possible et légitime.
Les interventions que je pratique s’effectuent à distance, dans une approche énergétique respectueuse, visant à soutenir les processus naturels d’équilibre et d’apaisement, notamment sur le plan émotionnel et vibratoire. Cette démarche repose sur la collaboration consciente et volontaire des personnes accompagnées, en parallèle de leur suivi médical.
Une décision administrative sans plainte clinique ni incident médical
Le jugement administratif du Collège des médecins du Québec n’est pas né d’une plainte déposée par un patient. Aucun incident médical, aucune erreur thérapeutique, ni aucun préjudice clinique concret ne m’a été reproché.
La procédure a été déclenchée sur la base d’une analyse interne de certaines formulations présentes sur mon site web, interprétées de manière élargie par des instances administratives, sans qu’aucune situation clinique réelle ne soit documentée.
Fait important : la décision a été rendue par défaut, en mon absence, sans débat contradictoire ni présentation de preuve d’un quelconque acte médical exercé illégalement. Je n’ai jamais été entendu devant l’instance ayant prononcé cette décision, ce qui pose question sur le respect des principes fondamentaux de défense dans toute procédure équitable.
Les fondements juridiques du libre choix thérapeutique au Québec: positionnement juridique guérisseur Québec
Au-delà de cette procédure administrative, plusieurs textes fondamentaux garantissent aux citoyens québécois et canadiens des droits clairs en matière de santé :
Charte canadienne des droits et libertés — article 7« Chacun a droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de sa personne. »👉 Charte canadienne des droits et libertés – article 7
Code civil du Québec — article 10« Toute personne est inviolable et a droit à son intégrité. Nul ne peut lui porter atteinte sans son consentement libre et éclairé. »👉 Code civil du Québec – article 10
LSSSS Québec — article 4« Toute personne a droit de participer à toute décision affectant son état de santé ou son bien-être. »👉 LSSSS Québec – article 4
Code des professions du Québec👉 Code des professions du Québec
Ces textes forment un socle juridique incontestable. Ils reconnaissent le droit fondamental de chaque personne de solliciter des approches complémentaires, dès lors qu’elles n’empiètent pas sur les champs d’exercice réservés aux professionnels médicaux. C’est précisément dans ce cadre respectueux et complémentaire que s’inscrit mon accompagnement vibratoire.
Une pratique vibratoire déjà intégrée dans plusieurs systèmes hospitaliers internationaux
Si au Québec l’accompagnement vibratoire est encore sujet à des controverses administratives, plusieurs systèmes hospitaliers de haut niveau dans le monde ont intégré ces approches en soutien complémentaire aux soins médicaux :
En Suisse, l’Hôpital universitaire de Genève collabore avec des coupeurs de feu pour soulager les brûlures aiguës au sein même de ses services hospitaliers.
En France, le Dr Daniel Serin, cancérologue à l’Institut Sainte-Catherine d’Avignon, reconnaît publiquement l’intérêt clinique rapporté par ses patientes dans l’utilisation complémentaire des coupeurs de feu :« Les coupeurs de feu, ça marche dans 80 % des cas. Soit elles sont toutes folles, soit il se passe quelque chose que je ne suis pas capable d’expliquer. »
Aux États-Unis, au Brigham and Women’s Hospital de Boston, affilié à la Harvard Medical School, des collaborations documentées ont eu lieu entre médecins et praticiens en soins vibratoires.
Ces exemples démontrent que l’opposition systématique à toute forme d’accompagnement vibratoire complémentaire est loin d’être universelle, même dans des environnements médicaux parmi les plus avancés.
Un code d’éthique rigoureux au cœur de la pratique
Au-delà des aspects strictement juridiques, ma pratique repose sur un code d’éthique transparent et rigoureux, qui guide l’ensemble de mes interventions :
Je ne pose aucun diagnostic médical ;
Je ne prescris aucun traitement ;
Je ne recommande jamais d’interrompre un traitement médical ;
Je n’interviens jamais sans consentement éclairé ;
Je précise systématiquement que mes interventions sont complémentaires au suivi médical en cours.
Le positionnement juridique du guérisseur au Québec repose ainsi sur cette rigueur éthique doublée d’une conformité aux cadres légaux existants. Mon objectif est avant tout d’offrir, lorsque les personnes le souhaitent, un soutien vibratoire respectueux, en parallèle de leur suivi médical habituel.
Contact et ouverture au dialogue
Je reste ouvert à tout échange sérieux avec les professionnels de santé, les chercheurs, les journalistes ou les institutions désirant approfondir la compréhension des pratiques vibratoires complémentaires au Québec.
Dans un contexte où les débats sur la complémentarité des approches thérapeutiques méritent d’être menés avec rigueur et transparence, j’invite à dépasser les caricatures et à s’appuyer sur les faits cliniques observés à l’international.
FAQ
1. Est-ce que votre pratique de guérisseur est conforme aux lois du Québec ?
Oui. Mon accompagnement vibratoire est strictement complémentaire aux traitements médicaux. Je ne pose aucun diagnostic médical, je ne prescris aucun traitement, et je ne recommande jamais d’arrêter un suivi médical. Tant que ces limites sont respectées, le cadre juridique québécois permet aux citoyens de solliciter librement des approches complémentaires.
2. Pourquoi le Collège des médecins du Québec a-t-il engagé une procédure contre vous ?
En 2023, une décision administrative a été rendue à mon encontre sur la base d’une enquête interne du Collège des médecins, initiée à partir de formulations présentes sur mon site web. Aucun patient ne s’est plaint de ma pratique. Aucune preuve de préjudice clinique n’a été présentée. La décision a été rendue par défaut, sans que je sois entendu.
3. Quelle est la différence entre votre pratique vibratoire et un acte médical réservé ?
Ma pratique consiste à offrir un accompagnement vibratoire énergétique. Je n’effectue aucun acte réservé aux professionnels de santé, comme poser un diagnostic, prescrire un traitement ou interrompre une médication. Les soins vibratoires que je propose s’ajoutent en parallèle des suivis médicaux établis.
4. Existe-t-il des exemples d’intégration de coupeurs de feu dans les hôpitaux ?
Oui. Plusieurs hôpitaux de haut niveau intègrent déjà ces approches complémentaires : l’Hôpital universitaire de Genève en Suisse, l’Institut Sainte-Catherine en France, et même des collaborations documentées aux États-Unis, notamment à la Harvard Medical School.
5. Quelles sont les garanties éthiques offertes aux personnes accompagnées ?
Chaque personne est informée clairement de la nature non médicale de mon accompagnement vibratoire. Aucun diagnostic ni traitement médical ne sont réalisés. Mon engagement repose sur un code d’éthique rigoureux qui respecte le libre choix, l’intégrité et les suivis médicaux existants.
6. Respectez-vous les traitements médicaux en cours de vos clients ?
Absolument. Mon accompagnement vibratoire ne remplace jamais un suivi médical conventionnel. Les personnes restent toujours sous la supervision de leur médecin traitant. Mon rôle est uniquement complémentaire, sans interférer avec les traitements médicaux prescrits.
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