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Journalisme de piège contre Martin Ladouceur, guérisseur au Québec : une dérive médiatique dénoncée

  • Photo du rédacteur: Martin Ladouceur
    Martin Ladouceur
  • il y a 6 jours
  • 6 min de lecture
Silhouette d’un caméraman symbolisant la dérive médiatique et les méthodes de piège journalistique dénoncées par Martin Ladouceur, guérisseur-magnétiseur coupeur de feu au Québec.

Depuis plusieurs années, j’exerce au Québec comme guérisseur-magnétiseur coupeur de feu, proposant des soins vibratoires complémentaires à distance, dans le respect absolu des suivis médicaux établis. Mon approche repose sur un cadre éthique rigoureux, où je ne pose aucun diagnostic médical, ne prescris aucun traitement et ne recommande jamais d’interrompre un suivi médical en cours.


Malgré cette transparence, en 2023, deux opérations médiatiques ont été menées contre moi. D’abord par l’émission JE de TVA, qui a organisé une manœuvre de piège médiatique, puis par le Journal de Montréal, qui a relayé l’affaire sous un angle sensationnaliste sans vérification des faits. Cet article expose en détail ces démarches, les documents transmis aux journalistes et les dérives méthodologiques qui ont entouré leur traitement médiatique.


La mise en place d’un faux prétexte pour organiser un piège télévisuel

Tout débute lorsque je suis contacté par une femme se présentant sous un faux nom. Sous prétexte d’une demande de mentorat en méditation et visualisation, la production de l’émission JE cherche à établir un contact. La thématique proposée ne concerne alors aucunement ma pratique vibratoire ou mon activité professionnelle. Dans un esprit d’ouverture, j’accepte la rencontre en vidéoconférence privée. Lors de cette séance, alors que j’explique des techniques de méditation, le journaliste Denis Therriault interrompt brusquement la discussion. Apparaissant soudainement à l’écran, il m’accuse immédiatement, en direct, de pratiquer illégalement la médecine.


Journalisme de piège contre Martin Ladouceur guérisseur au Québec : les règles bafouées du journalisme professionnel

Cette intervention soudaine survient dans un contexte où :


  • Aucun patient ne s’était plaint de ma pratique ;

  • Aucun incident clinique n’était survenu ;

  • Aucune enquête judiciaire n’était engagée.


Il ne s’agissait donc pas d’une enquête à partir de faits médicaux réels, mais bien d’une opération planifiée visant à provoquer une réaction émotionnelle devant la caméra, pour construire un récit sensationnaliste à usage télévisuel. Cette méthode relève du journalisme de piège (ou sting journalism) : provoquer une confrontation inattendue, dans des conditions scénarisées, sans information préalable ni respect du droit de se préparer à l’entretien.


Ma transparence immédiate face à l’accusation

Malgré l’effet de surprise, je prends immédiatement le temps d’expliquer calmement au journaliste :


  • Que je ne suis pas médecin ;

  • Que ma pratique est strictement complémentaire aux suivis médicaux ;

  • Que je n’interviens jamais sans le consentement des personnes accompagnées ni sans informer qu’aucun traitement médical ne doit être modifié ;

  • Que dans plusieurs pays, des collaborations existent entre des hôpitaux et des praticiens en soins vibratoires.


Je souligne qu’en Suisse, en France et aux États-Unis, certaines institutions hospitalières de haut niveau intègrent les coupeurs de feu et les magnétiseurs comme soutiens complémentaires aux soins médicaux officiels.


Ma correspondance complète et documentée avec le journaliste

Suite à cette confrontation, le journaliste Denis Therriault me contacte par courriel pour m’offrir la possibilité de compléter mes explications avant la diffusion de l’émission. Dans un esprit de bonne foi et de transparence, je lui transmets alors un courriel très détaillé, où je fournis une documentation sérieuse que voici :


🔎 Extraits des sources transmises :

1️⃣ Dr. Danielle Tavernier — Hôpital Thonon-les-Bains (France)Reportage montrant la collaboration en urgence entre médecin et barreur de feu pour le traitement des brûlures.👉 Voir le reportage

2️⃣ Dr. Daniel Serin — Cancérologue, Institut Sainte-Catherine (France)« Les coupeurs de feu, ça marche dans 80 % des cas. Soit elles sont toutes folles, soit il se passe quelque chose que je ne suis pas capable d’expliquer. »👉 Voir l’article source

3️⃣ Dr. David Servan-Schreiber — Médecin-chercheur (USA)Reconnaissance de l’impact de certaines pratiques complémentaires sur des mécanismes de guérison inexplicables par les outils médicaux conventionnels.👉 Lire l’analyse

4️⃣ Article — L’OBS (France)Sur l’intégration des guérisseurs dans le réseau hospitalier de Rodez.👉 Lire l’article

5️⃣ Article — La Dépêche (France)Sur l’ouverture progressive de la médecine aux pratiques complémentaires de guérison.👉 Lire l’article

6️⃣ Enquête Stéphane Allix (France/USA)Collaboration du Dr Lawrence Cohn (Harvard Medical School) avec une guérisseuse dans le cadre de la chirurgie cardiaque.👉 Voir la conférence

7️⃣ Témoignages vidéos complémentaires transmis👉 Voir les témoignages


Une absence totale de prise en compte des documents fournis

Malgré la transmission rigoureuse de ces éléments, appuyée par une offre formelle de participation à une entrevue contradictoire, aucune de ces sources n’a été mentionnée dans le reportage diffusé. Le montage a délibérément choisi de présenter une version unilatérale, tronquée et à charge, omettant toute tentative de contextualisation sérieuse ou de comparaison avec les pratiques hospitalières internationales.


Le relais sensationnaliste du Journal de Montréal sans vérification contradictoire

Dans les semaines suivant la diffusion de l’émission, le Journal de Montréal publiait à son tour un article reprenant l’affaire sous un titre à forte connotation accusatoire :


Suite à cette publication, j’ai moi-même contacté le journaliste du Journal de Montréal, lui proposant une entrevue pour présenter la réalité complète de ma pratique et des collaborations médicales existantes. Aucun retour ne m’a jamais été accordé. Aucune tentative de vérifier mes explications ou de consulter les sources transmises n’a été entreprise.


Les conséquences humaines profondes au-delà de la sphère médiatique

Ces campagnes médiatiques ont eu des effets bien réels sur ma vie personnelle et familiale. Mes enfants, confrontés à ces images publiques injustes de leur père, ont dû vivre cette exposition brutale et déformée, source de souffrances psychologiques importantes.

Loin d’être de simples querelles administratives, ces attaques médiatiques engendrent des blessures durables qui dépassent le cadre professionnel.


Quand le sensationnalisme remplace l’enquête journalistique sérieuse

Cette double opération médiatique illustre une dérive profonde :

  • Recherche systématique du choc émotionnel visuel,

  • Fabrication de mises en scène au détriment de l’équilibre des sources,

  • Absence totale de contradictoire réel,

  • Substitution de la rigueur journalistique par des logiques d’audimat.


Ce journalisme de plateau à charge alimente une stigmatisation systématique de toute approche thérapeutique complémentaire.


Les règles du vrai journalisme bafouées

Le journalisme d’enquête professionnel repose sur :


  • L’honnêteté des intentions (annoncer clairement les objectifs de l’enquête) ;

  • Le respect du contradictoire (permettre aux deux parties de s’exprimer équitablement) ;

  • La vérification pluraliste des faits (croiser plusieurs sources d’expertise) ;

  • La responsabilité éditoriale (éviter tout préjudice gratuit à la réputation des personnes).


Aucun de ces principes n’a été respecté ni par l’émission JE, ni par le Journal de Montréal.


Une participation active du système médiatique au verrouillage institutionnel

Plutôt que de participer à une ouverture lucide sur les pratiques vibratoires intégrées dans de nombreux hôpitaux à travers le monde, certains médias généralistes québécois participent activement à entretenir un climat de suspicion systématique. Cette logique médiatique contribue au maintien d’une forme de monopole médical qui refuse toute complémentarité dès qu’elle ne relève pas du paradigme médical dominant.


Conclusion

Je choisis aujourd’hui de rendre public ce dossier, sans esprit de revanche, mais par souci de transparence, de vérité, et de défense des personnes qui travaillent en dehors des cadres dominants tout en respectant strictement la loi et l’éthique.


Mon engagement de guérisseur-magnétiseur coupeur de feu demeure inchangé : offrir, à ceux qui le souhaitent, un accompagnement vibratoire respectueux, complémentaire et encadré légalement. Il est temps de retrouver un journalisme d’enquête véritable, basé sur la rigueur, la vérification des faits et l’écoute sérieuse des multiples réalités thérapeutiques qui coexistent dans le monde.


Invitation au dialogue journalistique rigoureux

Je demeure entièrement disponible pour tout journaliste ou chercheur désireux de mener une enquête sérieuse et approfondie sur les pratiques vibratoires complémentaires.

Ma pratique est documentée, transparente et s’inscrit dans une dynamique d’ouverture internationale. Tout professionnel respectueux des règles fondamentales du journalisme est invité à me contacter. Merci d'avoir pris le temps de lire l'article: journalisme de piège contre Martin Ladouceur guérisseur au Québec


FAQ


1. Qu’est-ce que le journalisme de piège contre Martin Ladouceur guérisseur au Québec ?

Il s’agit d’une manœuvre médiatique où une émission de télévision a organisé un faux prétexte d’entrevue pour piéger Martin Ladouceur en direct, en l’accusant de pratiquer illégalement la médecine alors qu’il exerce une pratique vibratoire complémentaire respectueuse des suivis médicaux.


2. Comment l’émission JE de TVA a-t-elle procédé pour piéger Martin Ladouceur ?

L’émission a utilisé une personne sous fausse identité pour organiser une rencontre en visioconférence sur un faux sujet de mentorat en méditation. Durant l’entretien, le journaliste est intervenu soudainement à l’écran pour accuser Martin Ladouceur d’exercice illégal de la médecine sans fondement clinique ni plainte réelle.


3. Quelle documentation Martin Ladouceur a-t-il fourni aux journalistes ?

Martin Ladouceur a transmis un dossier complet incluant son code d’éthique, des références médicales internationales démontrant l’intégration des guérisseurs dans certains hôpitaux (Suisse, France, États-Unis), ainsi que des articles scientifiques, reportages et témoignages de médecins collaborant avec des coupeurs de feu.


4. Le Journal de Montréal a-t-il cherché à entendre la version de Martin Ladouceur ?

Non. Après avoir publié un article à charge, le Journal de Montréal n’a donné aucune suite aux courriels de Martin Ladouceur, qui proposait pourtant de participer à une entrevue complète et contradictoire pour présenter les faits dans leur globalité.


5. Pourquoi parler de dérive médiatique dans le traitement de cette affaire ?

Ces opérations médiatiques ont délibérément ignoré les règles fondamentales du journalisme d’enquête : absence de contradictoire, scénarisation des accusations, recherche du choc visuel et omission volontaire des sources documentaires transmises par Martin Ladouceur.


6. Quel est le positionnement actuel de Martin Ladouceur face à ces attaques médiatiques ?

Martin Ladouceur poursuit son engagement de guérisseur-magnétiseur coupeur de feu au Québec, dans un cadre éthique clair, respectueux des lois et des suivis médicaux. Il reste ouvert à tout échange sérieux avec des journalistes véritablement engagés dans une enquête rigoureuse et équilibrée.

 
 
 

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