L'Hôpital de Genève et les guerisseurs coupeur de feu a distance : vers une nouvelle médecine intégrative ?
- Martin Ladouceur
- 9 févr.
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 15 août

Et si, au cœur des hôpitaux les plus modernes, résonnait encore l’écho d’une médecine millénaire ? C’est aujourd’hui une réalité en Suisse, où certaines structures de renom – comme les Hôpitaux universitaires de Genève et l’Hôpital de la Tour – collaborent discrètement avec des guérisseurs à distance, aussi appelés coupeurs de feu, afin de soulager les brûlures et apaiser la douleur des patients.Ces interventions, héritées de traditions anciennes et souvent transmises par un “don”, se déroulent en parallèle des protocoles médicaux conventionnels. Bien que la science n’ait pas encore pu en expliquer pleinement les mécanismes, leurs effets observés sont souvent concrets et mesurables.
Guerisseurs coupeur de feu a distance: En milieu hospitalier : une pratique discrète mais régulière
Dans certains services spécialisés, notamment les unités de soins aux brûlés, faire appel à un guerisseurs coupeur de feu a distance est devenu une habitude pour compléter la prise en charge. Les équipes médicales tiennent à jour une liste de praticiens reconnus, contactés par téléphone au moment opportun. L’intervention ne nécessite aucun contact physique : le praticien agit à distance, tandis que les traitements médicaux suivent leur cours. Selon les témoignages recueillis, les patients constatent souvent une diminution rapide de la douleur, une cicatrisation améliorée et, dans certains cas, une réduction notable de l’usage d’antalgiques lourds comme la morphine. Je vous invite à prendre connaissance des mes fiches d'observations cliniques.
Des résultats probants, mais encore en marge de la médecine officielle
Malgré des retours positifs, cette pratique reste non officielle et suscite des avis partagés. Certains médecins y voient un effet placebo bénéfique, tandis que d’autres refusent d’en reconnaître la légitimité en l’absence de preuves scientifiques formelles. Pourtant, les cas documentés sont nombreux : un jeune cuisinier brûlé au deuxième degré a vu sa douleur chuter drastiquement après l’intervention d’un coupeur de feu à distance, au point de ne plus avoir besoin de morphine. À Genève, des médecins comme Brigitte Pittet réfléchissent même à intégrer officiellement cette méthode dans les protocoles hospitaliers.
Vers une médecine intégrative : science et savoir-faire ancestral en dialogue
Le recours à un guérisseur coupeur de feu à l’hôpital interroge la frontière entre médecine conventionnelle et médecine vibratoire. Pour le psychiatre Philippe Bourgeois, ces interventions pourraient mobiliser des mécanismes psychiques et biologiques encore mal compris, mais bien réels. L’objectif n’est pas de remplacer les traitements médicaux classiques, mais d’en renforcer l’efficacité, notamment pour la gestion de la douleur, de l’inflammation ou de l’anxiété.
Une ouverture possible vers des hôpitaux plus humains
Cette collaboration entre soignants et praticiens à distance pourrait marquer le début d’une médecine plus humaine et globale, ouverte à des approches complémentaires lorsque celles-ci démontrent un bénéfice réel pour le patient. Si les résistances demeurent fortes, les expériences vécues dans les hôpitaux suisses nourrissent une réflexion profonde : qu’est-ce que soigner, et jusqu’où la science peut-elle intégrer des pratiques issues de la tradition ?
Conclusion et invitation au lecteur
Avez-vous déjà eu recours à un guérisseur à distance ou assisté à une intervention de coupeur de feu en contexte hospitalier? Partagez votre expérience ou votre avis dans les commentaires.
Depuis plus de 15 ans, j’accompagne à distance des personnes hospitalisées, en soutien aux traitements médicaux prescrits. Pour en savoir plus, consultez ma page dédiée au magnétisme thérapeutique pour adultes et aînés.
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