Dès la deuxième semaine d’intervention, soit autour du 3 mars 2025, la consultante a commencé à rapporter une amélioration significative. Les douleurs au niveau du cou et des épaules se sont fortement atténuées. Les tensions musculaires ressenties pendant la nuit ont diminué de manière tangible, ce qui a permis un sommeil plus calme et moins fragmenté. Elle a également noté la disparition des arythmies cardiaques qu’elle observait ponctuellement. Sur le plan fonctionnel, la mobilité de ses bras et de ses épaules s’est améliorée, rendant plus aisées les tâches du quotidien. Une douleur migratoire passagère à la hanche et au bas du dos est apparue brièvement, sans provoquer d’inquiétude, mais plutôt comme une manifestation naturelle du relâchement progressif des tensions profondes.

Une semaine plus tard, le 10 mars 2025, Dominique décrit une nette stabilisation de son état. La fatigue chronique qui la suivait depuis longtemps s’est réduite, et elle ressent un regain d’énergie durable. Son tonus général est meilleur, sa vitalité rétablie, et aucun des symptômes initiaux ne s’est réinstallé. Du côté des animaux, les effets ont été visibles rapidement. La brûlure à la patte du chat âgé a montré une amélioration nette dès les premiers jours : la douleur a diminué et la mobilité est revenue progressivement. Les chats atteints de gingivite modérée ont récupéré une condition buccale stable dans les jours suivants, avec un retour à une alimentation normale. Le cas sévère a nécessité deux cycles complets : la première phase a permis de contenir les symptômes et de stopper les saignements, mais c’est la seconde phase, amorcée trois semaines plus tard, qui a permis une rémission complète. L’animal a alors repris une alimentation plus consistante, signe d’un soulagement buccal durable.