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Martin Ladouceur
guérisseur-magnétiseur coupeur de feu
Observations cliniques et études de cas en médecine vibratoire
Découvrez des cas réels documentés en médecine vibratoire et magnétisme thérapeutique, observés à distance ou en cabinet. Chaque fiche illustre une approche rigoureuse, un suivi objectif, et des résultats concrets auprès de personnes ou d’animaux accompagnés dans divers contextes.
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Zona neurologique et douleurs chroniques – Québec, hiver 2025
Accompagnement vibratoire ciblé à distance – Québec (Canada)
16 janvier 2025
Introduction clinique
Mme Di-Ann Provencher, âgée de 69 ans, est une femme active résidant à Québec. Elle pratique régulièrement le tennis, le ski alpin et la danse afin de préserver sa mobilité. En juillet 2024, elle se blesse en jouant au tennis, ressentant une douleur aiguë et un possible sur-étirement dans la région de l’omoplate droite. Cette zone correspond à une ancienne blessure majeure survenue à l’âge de 37 ans lors d’un accident de glissade sur tube, qui avait entraîné des fractures costales, un traumatisme du coccyx et une torsion de la colonne vertébrale. Bien suivie en ostéopathie à l’époque, elle avait retrouvé sa force, mais avec l’âge, une fragilité persistante s’est installée.
À l’automne 2024, une rechute musculo-articulaire survient. Fin novembre, elle commence à ressentir une chaleur inhabituelle au niveau du sein droit et remarque une plaque rouge au contact de son soutien-gorge. Après consultation rapide avec un pharmacien, un traitement antiviral est immédiatement prescrit, suivi d’une confirmation médicale du diagnostic de zona. Le zona s’est manifesté exactement dans la zone affaiblie par les blessures anciennes.
Mme Provencher décrit une peau sensible depuis toujours, avec une mauvaise circulation périphérique et des démangeaisons dorsales chroniques. Les douleurs provoquées par le zona sont extrêmement intenses pendant trois mois : brûlures, rougeurs, enflure, intolérance au toucher, douleurs thoraciques irradiant vers la tête et la jambe droite, perte de souffle, maux de dos paralysants. Les analgésiques comme le Tylenol sont peu efficaces. La morphine lui est proposée mais refusée en raison d’une hypersensibilité médicamenteuse. L’infection ORL simultanée aggrave son état général.
Méthodologie d'accompagnement
L’accompagnement vibratoire à distance a été engagé à la mi-janvier 2025, avec une intention claire : réduire les névralgies intenses, stabiliser la zone affectée par le zona et permettre à Mme Provencher de retrouver un minimum de mobilité sans déclenchement de crise douloureuse. Le protocole a été structuré en trois phases vibratoires :
Phase anti-inflammatoire ciblée : intervention à distance visant à corriger, sans conscience préalable de ma part, une anomalie bioénergétique identifiée dans la région scapulaire droite. Cette action a contribué à désengorger cette zone et à apaiser l’activité excessive des récepteurs nerveux, notamment autour de l’épaule, de l’omoplate, de la colonne et des ganglions thoraciques.
Phase de réalignement et d’apaisement nerveux : rééquilibrage d’anomalies bioénergétiques détectées dans la région dorsale, avec stabilisation du flux énergétique et harmonisation du système nerveux autonome.
Phase de reconstruction vibratoire : travail d’ancrage global le long de l’axe vertébral, incluant le soutien de la circulation bioénergétique associée à la vascularisation périphérique et la réhabilitation vibratoire des tissus anciennement traumatisés.
En parallèle, des ajustements ont été appliqués pour répondre aux effets des conditions météorologiques (humidité, froid), qui avaient tendance à déclencher ou amplifier les douleurs. L’approche a visé la régularisation des pics de douleur nocturne tout en évitant la sur-stimulation du système nerveux.
Dès la fin janvier 2025, Mme Provencher note une réduction graduelle de l’intensité des sensations de brûlure. Les réveils nocturnes sont toujours présents, mais moins violents. Les démangeaisons s’atténuent. En février, elle commence progressivement à reprendre des activités physiques adaptées : ski alpin modéré (sans bâtons), danse légère, et quelques exercices de tonus musculaire pour les jambes. Elle respecte ses limites et évite tout mouvement sollicitant directement la région dorsale droite.
Au cours du mois de mars 2025, elle constate une amélioration globale de 75 %. Les douleurs ne sont plus continues mais surviennent de façon cyclique, environ toutes les une à deux semaines. Elle est capable de reprendre des mouvements simples, de dormir plus confortablement, et d’éviter les crises à condition de ne pas porter plus de 8 à 10 livres contre elle. Les sensations de “migraine dorsale” et de picotements dans le dos sont moins fréquentes et plus supportables. Le sommeil est de meilleure qualité. Elle précise que les symptômes peuvent réapparaître légèrement les jours de mauvais temps, mais sans le caractère incapacitant des mois précédents.
Analyse clinique par périodes
Discussion et interprétation clinique
Ce cas démontre la capacité de la médecine vibratoire à soutenir des processus de guérison complexes sur une zone fragilisée de longue date. Le zona s’est manifesté dans une région posturale déjà affaiblie, confirmant l’hypothèse selon laquelle les affections virales ciblent souvent les points de rupture tissulaire ou vibratoire. L’intervention vibratoire a permis ici un apaisement progressif des terminaisons nerveuses, sans recours à des analgésiques lourds, tout en accompagnant la reprise fonctionnelle. Le fait que la consultante ait pu reprendre certaines activités physiques modérées tout en observant une amélioration continue suggère que le travail vibratoire a soutenu le système nerveux et circulatoire en profondeur, malgré un historique traumatique et une hypersensibilité médicamenteuse.
Conclusion professionnelle
L’amélioration marquée des douleurs neuropathiques, la capacité retrouvée à pratiquer des activités physiques légères, et la régulation des pics douloureux nocturnes attestent de l’efficacité de l’accompagnement vibratoire ciblé dans un cas de zona complexe. La sensibilité extrême de la consultante, combinée à une blessure ancienne et une condition vasculaire fragile, représentait un contexte à haut risque de chronicisation.
L’évolution positive du tableau clinique dans un laps de temps relativement court (trois mois) souligne l’importance de protocoles vibratoires adaptables et respectueux du rythme du corps. Ce cas constitue une base sérieuse pour la documentation clinique de douleurs post-zona en population vieillissante.
Appel à collaboration
Toute personne ou organisation œuvrant dans la recherche sur les douleurs post-zona, les atteintes nerveuses chroniques ou les approches vibratoires complémentaires est invitée à entrer en contact pour contribuer à la documentation de cas similaires.
Témoignage intégral
Témoignage non encore formulé ou recueilli. Présence de correspondance écrite détaillée